Montpellier et l'intercommunalité
District de Montpellier |
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Crée en 1965 sous François Delmas, le district de Montpellier regroupera 15 communes jusqu'en 2001 pour résoudre les problèmes d'urbanisme de la ville. Saint Jean de Védas y adhère, la zone industrielle de La Lauze est crée. Les compétences sont transférées au District notamment secours et incendie, mais surtout développement économique. En 1980, la compétence transport permet à Georges Frêche de lancer la première ligne du Tramway pour relier la Paillade rebaptisé la Mosson au nouveau quartier d'Odysseum en passant par le centre ville ainsi que le tunnel de la Comédie. En 1990 certains maires s’inquiètent des projets monumentaux et coûteux construits essentiellement à Montpellier (Piscine olympique, Médiathèque centrale, Tramway).
Agglomération de Montpellier |
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En 1999 la loi Chevènement dote l'intercommunalité d'une fiscalité propre par la mise en commun de la taxe professionnelle. En 2001 la communauté d'agglomération remplace le district et comporte 38 communes.. En 2004 Palavas-les-Flots, La Grande-Motte, Mauguio, Saint-Aunès, Saint-Clément-de-Rivière, Saint-Gély-du-Fesc et Teyran quittent l’intercommunalité.
En 2002 elle se réduit à 31 mais la préfecture bloque la constitution d'une nouvelle communauté urbaine avec les communes du bassin de thau.
Montpellier Méditerranée Métropole |
Les 31 communes de la Métropole de Montpellier |
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La métropole et ses compétences: nouvelles recettes fiscales
En octobre 2014 le statut de Métropole permet de clarifier les règles de gestion de l’intercommunalité (le préfet ne peut plus intervenir) et de créer la Métropole de Montpellier le 1 janvier 2015. Aujourd’hui la métropole intervient et décide des orientations du cadre de vie des habitants des communes. Ce transfert de compétences d’une commune est une décision politique forte, aux implications techniques conséquentes.
En conséquence, chaque mairie voit ses compétences fortement diminuées.
Une urbanisation galopante : Saint jean de védas explose !
L’urbanisation est nécessaire à ce développement, les villes gagnent en surface et perdent en densité : c'est l'étalement urbain. Cette croissance horizontale se fait souvent sur les terres agricoles, posant des problèmes environnementaux et sociaux. Par contre elle améliore le niveau de vie et la qualité de vie des habitants via une offre plus importante de variétés de biens et services.
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